Dead Rising est le genre de jeux qui vous mettra dans un état de jouissance... Les zombies sont parfait... Seuls ceux l'ayant testé peuvent vous le dire, ce jeux n'est qu'une "bombe" a retardement, qui vous permet de dégommer du zombie a l'infinis.
"Grand moment surréaliste, après quelques heures de jeu, quand Jessie la blonde à lunette s'étonne de nous voir tachés de sang... Est-elle sérieuse ? Bon sang, je viens de tronçonner la chair dégueulasse d'une trentaine de morts vivants agglutinés les uns sur les autres ! Le rire, irrésistible, survient. Quoi que puisse répondre Franck, le moment est tellement bouffon que notre cerveau se contente petitement de régler les affaires courantes. Il y a vraiment moyen de se bidonner dans le mall de cette petite bourgade américaine appelée Willamette depuis l'apparition de cette déliquescente délinquance, qu'une bande de guignols tente de repousser"
"Franck, d'abord, en parfait touriste parachuté à la John Mac Lane, est un drôle d'oiseau de la presse sensationnelle, un "fouille-saletés" qui oublie trop souvent de fermer l'objectif sur ce qui ne le regarde pas. Son équipe de bras cassés est un duo d'agents fédéraux qui mettront peu de temps à révéler leur totale incompétence. Le complexe commercial est représenté par deux visages. Le versant humain, c'est le gardien, un des rares personnages à témoigner un peu de mesure et de raison face aux événements. Beaucoup moins amicaux, les psychopathes sont les employés des différents services du mall, qui, maintenant dépossédés de leurs fonctions et donc leur raison de vivre, se sont laissés croquer par la folie. De véritables petits patients dignes du docteur Carpenter. Vient la galerie de survivants, souvent grotesques, parfois touchants, éparpillés dans le complexe. Dans l'autre camp, quelques ombres : celles de Santa Cabeza, Carlito et Isabella. Et enfin, bien sûr, il y a les zombies, nos "chairs" et damnés pairs d'outre-tombe, par lot de cent, partout, un véritable concert de putréfaction. Il y a dans cet excès dévastateur autre chose que les visions triviales de Romero, un effet comique différent, qui se rapproche davantage du chef-d'oeuvre de Joe Dante, le second Gremlins. Naturellement, on ne sait pas d'où ils viennent ni pourquoi les gens de Santa Cabeza couvent le drame en essayant d'abattre les maigres indices recherchés par les agents fédéraux, quand ils ne s'en prennent pas directement à eux. Ion perturbateur dans cette alchimie explosive de personnages et de situations, Franck n'avait pas prévu de couvrir un tel carnage mais doit pourtant survivre 72 heures avant qu'un hélico ne vienne le reprendre. C'est son seul impératif"
Editeur : Capcom
Développeur : Capcom
Type : Action / Beat'em all
Site web officiel : Aller sur le site
Sortie : 07 septembre 2006
Classification : Interdit aux - de 18 ans
Similaire à : Ninety-Nine Nights
Capcom nous a servis un bon jeux, ce ratachant a du résident evil mais en largement mieu. Le seul Hic pas de Online, avec regret, mais quel galère a deux dans le centre commerciale. ^^
"Dead Rising est le gargantua du beat'em all, un truc foncièrement démesuré, violent, rentre-dedans. Capcom est habité par une folie certaine et fait copuler Resident Evil, les Gremlins et Evil Dead. On se sent terriblement bien dans ce mall, eden ludique truffé de possibilités. La narration sous pression de Dead Rising est d'abord infernale, embarrassée par des temps morts injustes. Il faut s'accrocher, recommencer, choisir de suivre le rythme élevé des événements, ou simplement rivaliser d'expérimentations puis relancer les 72 heures une fois l'environnement dans la peau. La rejouabilité naît de cette construction particulière. Dernier regret : le jeu préconise l'exagération mais n'arrive pas à mener son côté jusqu'au boutiste dans les affrontements mano a mano, ce qui est forcément un peu embarrassant. Mais ne nous y trompons pas, Dead Rising est aussi beau et magique qu'une larme de sang."